Chaque mois, Kalliopé vous propose de découvrir le portrait d’un collaborateur, d’un traducteur ou d’un partenaire. Aujourd’hui, focus sur Olivier, monteur et technicien vidéo.

Parlez-nous un peu de votre parcours…

Je travaille à Paris depuis la fin de mes études, soit septembre 2004. J’ai été responsable post-production et monteur pour une société de production documentaire pendant 4 ans puis opérateur télécinéma pendant 2 ans. Je suis monteur et technicien vidéo en intermittent/freelance depuis 2012.

Depuis combien de temps collaborez-vous avec Kalliopé ?

Je travaille avec Kalliopé depuis 2014.

Pourquoi avoir choisi de travailler avec des entreprises spécialisées en traduction ? 

Je travaille dans la post-production vidéo depuis des années. J’ai toujours eu à produire différentes versions des films sur lesquels je travaille. C’est donc un domaine d’activité que je connais bien.

Sur quel type de projets intervenez-vous ?

Je gère l’incrustation des titres et sous-titres sur vidéo à partir des traductions que je reçois.

Quelles sont vos langues de travail? 

Toutes !!!

Comment se passe une journée type ?

En tant qu’indépendant, mes missions sont très variées. Je n’ai pas vraiment de journée type !

Pourquoi aimez-vous votre métier ?

J’aime le travail sur la vidéo, l’image animée et son récit. J’aime également le caractère non répétitif de mon activité. Sans oublier mon indépendance !

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Portrait chinois

Si vous étiez …

… une langue ?

Une langue latine comme le français, l’italien ou l’espagnol… Ce sont mes origines qui parlent !

… un pays ?

La France… pour sa diversité géographique et surtout culturelle, quand on évite l’écueil du repli sur soi et cette forme de médiocrité qu’est la xénophobie.

… une culture ?

Je pense que ça recoupe avec la question précédente !

… une station de métro ?

Belleville ! Pour le mélange culturel justement 🙂

… un gâteau ?

Le tiramisu, j’adore !

… une couleur ? 

Une seule ? Impossible : un lever ou un coucher de soleil, ça ne fonctionne que dans la multitude des couleurs.

Qu’emporteriez-vous sur une île déserte ? 

Un couteau, une gourde et de la ficelle solide… Comme ça, il y aura toujours moyen de se bricoler des trucs.

… un livre ? 

Les Ritals, Germinal, Un Dimanche au Cachot, Tziganes, L’Usage du Monde, 1984, Zone, Le contraire de Un, Sous le règne de Bone… ce n’est pas exhaustif du tout : en dessous de 30, c’est pas jouable !!!

… un style de musique ?

Encore une fois, trop compliqué, trop de choix, et puis ça dépend tellement de l’humeur.

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