Chaque mois, Kalliopé vous propose de découvrir le portrait d’un collaborateur, d’un traducteur ou d’un partenaire. Aujourd’hui, focus sur Hind, traductrice-rédactrice créative aux multiples casquettes.

Parlez-nous un peu de votre parcours…

Après avoir validé mon master de traduction et linguistique à l’université Paris 7 Denis Diderot, j’ai travaillé comme chef de projet dans une agence de traduction parisienne. Je me suis ensuite lancée à mon compte comme traductrice, rédactrice et relectrice, entre autres parce que je souhaitais retourner vivre en Grèce, à Thessalonique (où j’ai vécu près de 3 ans). J’ai commencé ma collaboration avec Kalliopé à ce moment-là.

Depuis combien de temps collaborez-vous avec Kalliopé ?

Ma première collaboration avec Kalliopé remonte à 2010. Nous avons travaillé ensemble pendant quelques années. Puis j’ai fait une pause en traduction pour me consacrer au journalisme (j’ai travaillé comme journaliste pour Radio-Canada et plusieurs organismes francophones au Canada). J’ai repris du service en traduction en 2017, lorsque je suis rentrée en France.

Pourquoi avoir choisi ce métier ? 

Avant mes études de traduction, j’ai eu le grand bonheur d’étudier l’histoire (jusqu’en maîtrise) et de partir en Erasmus en Angleterre pendant mon année de licence. À cette occasion, j’ai aidé une professeure d’histoire médiévale à traduire le texte d’une de ses conférences (de l’anglais au français). J’ai adoré l’exercice et découvert par la même occasion ma future carrière. J’ai pris conscience de l’importance de la mission du traducteur : grâce à lui on a accès à un contenu qui nous serait autrement inaccessible. C’est ce rôle d’intermédiaire qui m’a plu et que j’aime dans ce métier.

Comment se passe une journée type ?

Il n’y a pas réellement de journée type parce que je passe de la traduction à la rédaction de textes et aucune journée ne se ressemble. Outre mon activité de traduction, je produis aussi du contenu original en français pour différentes entreprises. Je travaille aussi en parallèle au développement de mon blog et de mon podcast, je suis donc parfois amenée à aller interviewer mes invités dans le courant de la semaine.

J’aime mon métier pour la liberté et la flexibilité qu’il m’apporte, mais aussi pour toutes les connaissances qu’il met à ma disposition tous les jours.

Quelles sont vos langues de travail ? Sur quel type de projets intervenez-vous ? 

Je suis essentiellement traductrice/adaptatrice de l’anglais et de l’espagnol au français. Aussi bien des textes que des vidéos.

Y a-t-il un souvenir qui vous ait particulièrement marquée depuis que vous avez collaboré avec Kalliopé ?

Pour moi, c’est clairement l’humanité, la gentillesse et la flexibilité de l’équipe Kalliopé. Beaucoup d’agences ont malheureusement perdu de vue qu’ils travaillaient avec des humains et ne mettent en avant que leur profit et compétitivité. Certains mails d’agences sont devenus des mails groupés où le plus rapide gagne… Or Kalliopé prend toujours le temps de communiquer avec chaque traducteur individuellement et de proposer les délais/tarifs les plus justes ou les thématiques les plus pertinentes selon le profil du traducteur – tout en essayant de satisfaire leurs clients au maximum.

Portrait chinois

Si vous étiez …

… une langue ?

L’italien. Cette langue danse, ondule et chante. Un vrai bonheur au creux de mes oreilles.

… un pays ?

La Thaïlande. Le pays du sourire où j’ai rencontré mon mari il y a 7 ans.

… une culture ?

La culture balinaise : je ne la connais pas bien, mais j’ai pu passer quelques mois à Bali en 2017 et j’adore le fait que les balinais consacrent autant de temps aux offrandes de fleurs : des actes quotidiens de gratitude que je trouve magnifiques.

… une station de métro ?

Europe, parce que j’aime tout de l’Europe : ses cultures nombreuses et variées, sa nourriture, son histoire, ses paysages superbes, le concept de l’Union européenne…

… un gâteau ?

La tiramisu : doux et corsé à la fois et puis c’est surtout italien.

… un adjectif ?

Audacieuse.

… une citation ?

« You are the average of the five people you spend the most time with. »- Jim Rohn
= « Vous êtes la moyenne des cinq personnes que vous côtoyez le plus. »

… une couleur ? 

Le jaune (moutarde) : une couleur solaire qui me met la pêche.

Qu’emporteriez-vous sur une île déserte ? 

Une guitare. Depuis le temps que j’essaye d’apprendre à en jouer, ce serait une bonne occasion de ne faire que ça et de devenir enfin la musicienne que j’aurais adoré être.

… un livre ? 

Oh la la… Difficile cette question… Il y en a beaucoup que j’aime. Allez j’en donne juste deux parce que c’est un vrai supplice :
– « Les piliers de la terre » de Ken Follet ;
– « Le comte de Monte Cristo » d’Alexandre Dumas.

… un chanson ou un style de musique ?

J’aime beaucoup l’album « Sort of Revolution » du chanteur Fink.

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